Le transsexualisme est encore considérée comme une maladie mentale par la psychiatrie?

 Selon le site de la publication Folha de São Paulo, le manuel d'orientation en cours, destiné aux médecins psychiatriques, considère «transsexualisme» (qui a été rebaptisé le sexe incongruité) un trouble. Autrement dit, la maladie mentale.

Toutefois, selon la matière, cela devrait changer dans la nouvelle version de la liste des maladies qui guide la santé dans le monde entier, la CIM-11 (Classification internationale des maladies), publié par l'Organisation mondiale de la Santé.

Différents comportements considérés aujourd'hui comme des troubles tels que le sadomasochisme et travestisme fétichiste, seront effacés depuis le CID. D'autres, comme «transsexuel», vont changer de catégorie.

Trans aura un nouveau chapitre, loin de la maladie, qui devrait réunir d'autres conditions "relatives à la sexualité," encore à définir.

L'ordre est "dépathologiser« sexe. "Les comportements sexuels qui sont entièrement privée et consensuelle et ne donnent pas lieu à un préjudice à autrui ne doivent pas être considérés comme un problème de santé. Il n'y a aucune raison pour cela," at-il dit Folha Geoffrey Reed, directeur de l'OMS sur la santé mentale. Au Brésil, le travail de coordination est Unifesp (Université Fédérale de São Paulo).

Controverse

La question est maintenant de savoir si, en perdant la classification des maladies, un tel comportement ne sera plus couvert par des systèmes de santé. Au Brésil, par exemple, les personnes transgenres ont droit à la chirurgie de changement de sexe et d'autres thérapies dans le SUS.

"Nous analysons l'impact des changements dans les lois de diagnostic dans l'ensemble pour éviter toute perte de l'accès aux services de santé», explique le psychiatre Denise Vieira, l'un des coordinateurs brésiliens de la révision de la CIM en matière de santé sexuelle.

Pour changer de sexe chirurgie dans SUS, il faut être évalués deux ans plus tôt, par un psychiatre de l'équipe, chirurgien, psychologue, endocrinologue et un travailleur social. Selon les médecins, parce que si cela se fait chez des patients sans diagnostic de «transsexualisme», peut entraîner des troubles mentaux graves et même conduire au suicide.
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